CE CONCERT AURA LIEU À VIRTUOZ CLUB À VILLENEUVE-LA-GARENNE
En raison d’une fermeture temporaire, le concert du 31 mars 2017 initialement prévu au tamanoir à Gennevilliers aura lieu au VIRTUOZ CLUB à Villeneuve-la-Garenne, même date, même heure. Vos places restent valables pour le nouveau lieu. Sinon, vous avez la possibilité de vous faire rembourser jusqu’au 25 mars 2017.
Merci de votre compréhension.
La magie de Kinshasa a donné naissance à la transe urbaine des Konono n°1 et au rap sur fond de Rumba de Baloji, venez découvrir en live deux hybridations de la musique congolaise.
KONONO N°1
En provenance de Kinshasa, la musique de ce gang de Congolais est une vraie transe urbaine, qui a ouvert la voie (et les oreilles) du public occidental, à Kasaï All Stars, Staff Benda Bilili puis les insurpassables Mbongwana Star. Konono N°1 a été fondé dans les années 60 par Mingiedi Mawangu, malheureusement décédé en 2015 à l’âge de 85 ans. Il avait transmis le flambeau à son fils Augustin depuis plusieurs années. Il est rare de posséder une musique aussi reconnaissable. En live, les likembés (ou pianos à pouces) électriques et leur section rythmique sauvage, percussions traditionnelles ou bricolées à partir de pièces de voitures et chants puissants, s’adressent à un large public. Depuis la sortie de leur premier album “Congotronics” en 2004, ils sont devenus la coqueluche inattendue des publics indie, rock et électronique européens et américains.
BALOJI
Le rappeur belgo-congolais Baloji est un artiste unique en son genre. À la fois dandy et engagé, le son du savant au flow percutant mélange Hip Hop, Funk, Electro, Soul, Rumba congolaise, le tout sur un fond bien vintage !
Après l’album Hôtel Impala (2008), sa version congolaise (Kinsasha Succursale/2011) est auréolé de 4 étoiles par la presse mondiale (NY Times, Guardian, El Pais, les Inrocks…). On note la collaboration et un beau featuring avec Konono n°1. Après plus de 200 concerts à travers le monde, Baloji revient avec ce nouvel EP, 64 Bits And Malachite, encore une réussite, pour celui qui a pris le pari de construire un pont entre les sonorités musicales et culturelles du Congo et celles de son pays d’adoption, la Belgique.